La justice devra déterminer les responsabilités dans l’affaire de la viande de cheval et les responsables devront être sévèrement sanctionnés.
En attendant, la coopérative Lur Berri à laquelle appartient la société Spanghero doit tirer les conclusions de la décision du ministre de l’agriculture et écarter tous ceux qui de près ou de loin ont « trempé » dans cette affaire, à titre conservatoire, en attendant que la justice fasse son travail.
Cela doit permettre à la société Spanghero de retrouver au plus vite son agrément sanitaire nécessaire au travail de la viande.
La FGA-CFDT estime en effet que les 360 salariés de la société Spanghero n’ont pas à être les victimes d’actes frauduleux perpétrés par des patrons peu scrupuleux.
La FGA-CFDT demande aux pouvoirs publics de travailler aux côtés du groupe Lur Berri, en lien avec les instances représentatives du personnel, pour faire en sorte que de quelque manière que ce soit, aucun emploi salariés ne soit supprimé suite à cette affaire scandaleuse.
Elle rappelle en outre que des mesures doivent êtres prises concernant l'étiquetage des produits, le droit d'alerte et de retrait pour les salariés, ainsi que sur les contrôles de 1er niveau (voir communiqué de presse précédent).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire